Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Laclassede4C
2 avril 2020

Compte-rendu: La peur qui rôde - Howard Philip Lovecraft (1923)

Un nouveau compte-rendu de lecture, d'une nouvelle d'un auteur qui s'est beaucoup inspiré d'Edgar Allan Poe, le grand Howard Philip Lovecraft!

 

 

lovecraftPortrait d'HP Lovecraft

 

 

L'histoire se passe sur le mont des tempêtes près du manoir de la famille Martense. On suit l'histoire du narrateur et de ses deux compagnons, ils vont enquêter sur un meurtre mystérieux survenu suite à de violents orages.

Pour enquêter ils s'étaient renseigné auprès des montagnards, qui leur répondirent qu'ils avaient vu une masse informe attaquer les victimes, donc ils décidèrent de s'installer dans le manoir et d'attendre un orage, pendant celui-ci les deux compagnons disparurent et le narrateur vit la masse informe, ce qui le traumatisa.

Il se rétablie et fit appel à un ami journaliste mais leur recherche ne fut pas très concluante, un jour d'orage ils se réfugièrent dans une cabane. La foudre toucha un arbre. Le journaliste regarda les dégâts par la fenêtre, l'orage se calma. Il n'avait pas bougé. Le narrateur regarda le visage du journaliste, il était déchiqueté, mort.

Le narrateur n'en connaissait pas la cause, il continua donc ses recherches seul, il alla demander plus de détails aux montagnards qui lui dirent que le manoir Martense était hanté. Il alla donc regarder la tombe du père et tomba dans un réseau de galeries où il vit la chose, avant de découvrir un passage menant au manoir.

Il décide de fouiller la cave, mais pendant son expédition un orage éclate, ce qui fait surgir la créature d'une galerie dissimulée dans la cheminée. A ce moment-là le narrateur se rend compte qu'il n'y a pas une mais une multitude de créatures, il arrive à en abattre une et se rend compte que ce n'est pas un démon mais des primates, qui ont tous les yeux vairons – la spécificité de la famille Martense !

 

La peur qui rode est une nouvelle fantastique dans le pur style de HP Lovecraft.

L’aspect fantastique de l’histoire arrive progressivement tout au long du récit pour atteindre des niveaux d’horreur extrêmes et finir sur une révélation inattendue qui explique de façon horrible l’origine des massacres.

On retrouve les sujets de prédilection de Lovecraft. Une forêt lugubre, des villages à l’abandon, des superstitions, une famille dégénérée.

Un passage qui m’a beaucoup marqué est le moment où un ami du narrateur se fait arracher le visage. Sa mort reste un mystère tout au long du livre, enfin presque…

 

En bonus, un morceau de musique inspiré par l'univers de Lovecraft, qui pourra accompagner votre lecture:

 

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Archives
Publicité